Protection, restauration, mise en valeur et éducation au parc Thomas-Chapais

Afin de promouvoir et de conserver la valeur écologique du parc, un projet de protection, de restauration, de mise en valeur et d’éducation de Y’a QuelQu’un l’aut’bord du mur (mandataire du programme Éco-quartier Mercier−Hochelaga-Maisonneuve) a été mis sur pied en 2017 avec la collaboration du comité. Le projet comporte trois volets :

Contrôle du nerprun

Des corvées d’arrachage et de coupes ont été organisées afin de maîtriser l’explosion de la population de nerpruns ou, du moins, de ralentir la propagation rapide de cette espèce exotique envahissante. De plus, comme le nerprun forme un mur vert opaque, les corvées ont permis de favoriser un sentiment de sécurité dans le parc pour la population.


Restauration de la biodiversité

Une plantation d’arbres et d’arbustes a été effectuée afin de fermer des sentiers illicites, de protéger des plantes printanières et d’augmenter la  nourriture et les habitats disponibles pour la faune.


Éducation et sensibilisation

–  Trois dépliants pédagogiques, visant la sensibilisation du public à la protection, à la richesse écologique et à l’envahissement du nerprun ont été conçus et seront distribués aux visiteurs et citoyens intéressés.

–  Un programme d’activités pédagogiques a été mis en place pour les jeunes du quartier : certains participants ont reçu un cahier d’exercices ludiques sur la biodiversité du parc.

– Des panneaux d’interprétation permettant aux visiteurs de découvrir la biodiversité du parc et les moyens pour la conserver ont été conçus et installés sur les lieux.

– Une page Web a été créé afin de faire connaître le parc Thomas-Chapais et sa biodiversité ainsi que le projet.

Un aperçu des dépliants pédagogiques :


Un aperçu des cahiers d’exercices :


Un aperçu des panneaux d’interprétation :


Les réponses aux petits jeux des panneaux présentés par Horace, le hibou :

 

 

La mise sur pied du projet s’est effectuée en collaboration avec le Comité citoyen du parc Thomas-Chapais et grâce au financement de la Fondation Hydro-Québec pour l’environnement.